Audition Sénat, Olivier CADIC, 20 juin 2024 - NIS 2

 

Le CyberCercle a eu l’honneur d’être auditionné ce jeudi 20 juin 2024 au Sénat, par le sénateur Olivier CADIC, Vice-président de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, sur la question de la transposition de la directive NIS 2, dans le cadre de la préparation du rapport annuel au titre du programme 129 « Coordination du travail gouvernemental (cyberdéfense, SGDSN) ».

Répondant aux objectifs  du sénateur, le CyberCercle a associé un certain nombre d’organisations de son écosystème : Julien Lopizzo de Semkel, Muriel de Marcos de MGM Solutions., Marc BOTHOREL de la CPME nationale, David DANY et Christophe CURTELIN de La Preuve Numérique©, Mylene Jarossay du CESIN, Quentin Nicaud d’Elysium Security, Eric Hohbauer de Stormshield, Pierre Kirchner d’Equans Digital, La Poste Groupe, le CEA, le Ministère des Armées… sans oublier les senior advisors du CyberCercle : Stéphane Meynet, Christian Daviot et Yann Magnan.

Un enjeu majeur pour la résilience des organisations et de notre pays, qui nécessite la prise en compte des expertises diversifiées, de terrain de ceux qui devront mettre en oeuvre les dispositifs de cette nouvelle règlementation, et de ceux qui devront les accompagner. Et, au-delà, la question centrale de la place de la sécurité numérique dans les politiques publiques.

Encore une fois, une illustration qu’en matière de sécurité numérique, l’intelligence collective, le dialogue, la concertation sont des piliers fondamentaux .

Cette audition s’inscrivait dans la continuité du travail du CyberCercle autour de transposition de la directive NIS2, qui avait suscité une audition en avril 2024 par la Commission Supérieure du Numérique et des Postes (CSNP), dans le cadre du groupe de travail sur la transposition de la directive NIS2, conduit par par le sénateur Damien MICHALLET, président de la CSNP, et la députée Anne LE HENANFF

Une occasion de (re)lire notre note présentant notre réflexion face à ce texte, nos points d’alerte mais aussi notre vision de l’opportunité politique en faveur de la sécurité du numérique de notre pays que devrait porter cette transposition.